Quels sont les risques, dangers et effects secondaires du NMN (NAD+) ?
Le nicotinamide mononucléotide (NMN) fait beaucoup parler de lui dans le domaine de la longévité et du bien-être. Mais qu’en est-il réellement de sa sécurité ? Avec une explosion des ventes et des promesses parfois exagérées, il est crucial de comprendre les potentiels effets secondaires de ce complément alimentaire.
Le NAD+ est-il fait pour vous ?
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- Sécurité Globale : Sur 437 participants aux études cliniques, seuls 8,2% ont rapporté des effets secondaires mineurs, aucun effet grave n'a été observé.
- Dosage Adapté à l'Âge : Les doses recommandées varient de 200 mg/jour (30-40 ans) jusqu'à 1200 mg/jour (plus de 60 ans), avec une tolérance prouvée jusqu'à 1200 mg/jour.
- Mode de conservation très important : Le stockage au réfrigérateur est essentiel pour éviter la dégradation du NMN en nicotinamide.
- Effets Secondaires Mineurs : Les principaux effets rapportés sont des troubles gastro-intestinaux légers et passagers, similaires dans les groupes placebo.
- Durée d'Études : Les études cliniques s'étendent jusqu'à 12 semaines, montrant une bonne tolérance à court et moyen terme.
- Populations à Risque : Prudence recommandée pour les femmes enceintes/allaitantes et les personnes souffrant de troubles rénaux ou hépatiques.
- Qualité du Produit : La pureté et le processus de fabrication sont très importants pour assurer une qualité optimale du produit
Qu’est ce que le NAD⁺
Le NAD⁺ (nicotinamide adénine dinucléotide) est une coenzyme essentielle présente dans toutes nos cellules. Elle participe à la production d’énergie, à la réparation de l’ADN, à la régulation du métabolisme et au maintien du bon fonctionnement cellulaire.
Avec l’âge, le taux de NAD⁺ tend naturellement à diminuer, ce qui pourrait contribuer à certains signes du vieillissement et à une baisse des performances métaboliques.
Le NMN (nicotinamide mononucléotide) est quand à lui l’un des précurseurs naturels du NAD⁺. Il est produit par l’organisme et se retrouve en très faibles quantités dans certains aliments comme l’avocat, le brocoli, le chou ou la tomate.
Il faudrait consommer une quantité importante de ces aliments pour obtenir ne serait-ce que quelques milligrammes de NMN.
C’est pourquoi la supplémentation en précurseurs du NAD⁺ est devenue populaire ces dernières années. Le NMN, par exemple, est souvent proposé sous forme de gélules ou de poudre, avec des dosages allant généralement de 50 à 500 mg par prise.
Les recherches suggèrent que l’augmentation des niveaux de NAD⁺ pourrait avoir des effets bénéfiques sur la fonction mitochondriale, la sensibilité à l’insuline et certains marqueurs du vieillissement. Toutefois, les données cliniques humaines restent encore limitées et les effets à long terme nécessitent davantage d’études.
Pour l’heure, les essais à court terme indiquent une bonne tolérance, sans effets indésirables majeurs observés aux doses habituellement utilisées.
Les recherches scientifiques sur le NAD⁺ et ses précurseurs
Ces dernières années, plusieurs études se sont penchées sur le NAD⁺ et ses précurseurs comme le NMN (nicotinamide mononucléotide) et le NR (nicotinamide riboside).
Les recherches sont globalement rassurantes. Une revue systématique publiée en 2024, regroupant plus de 400 participants, a conclu que la supplémentation en précurseurs du NAD⁺ était bien tolérée et qu’aucun effet indésirable grave n’avait été observé, même à des doses allant de 250 à 1000 mg par jour.
Parmi les travaux les plus notables :
- Yi et al. (2023) : 80 adultes en bonne santé ont reçu jusqu’à 900 mg de NMN par jour pendant 60 jours. Résultat : une hausse mesurable du NAD⁺ sanguin et aucun effet secondaire notable.
- Trammell et al. (2016) : première étude majeure sur le NR, démontrant qu’il augmente efficacement les niveaux de NAD⁺ dans le corps, avec une excellente tolérance même à forte dose (jusqu’à 1000 mg par jour).
- Okabe et al. (2022) : 30 volontaires ont pris 250 mg de NMN pendant 12 semaines sans aucun signe clinique anormal.
- Yoshino et al. (2021) : chez des femmes prédiabétiques, 250 mg de NMN par jour ont amélioré la sensibilité à l’insuline sans provoquer d’effets indésirables.
Les effets secondaires rapportés dans ces études sont très rares et bénins : légères nausées, maux de tête temporaires ou inconfort digestif. Rien de comparable aux effets secondaires parfois observés avec d’autres compléments.
De son côté, le NADH (forme réduite du NAD⁺) a également été testé chez l’humain, notamment pour ses effets sur la fatigue et la concentration. Les essais cliniques montrent une bonne tolérance jusqu’à 25 mg par jour, sans problème notable à signaler.
Effets secondaires du NAD⁺ et de ses précurseurs
Les études cliniques disponibles à ce jour sont très rassurantes. Sur plus de 400 participants étudiés dans différents essais sur l’ensemble des molécules, seuls quelques cas isolés d’effets secondaires légers ont été rapportés, et aucun n’a été considéré comme grave. La majorité de ces effets étaient temporaires, souvent sans lien direct avec la prise du complément.
Les effets secondaires les plus fréquemment rapportés
Effets mineurs courants observés dans les études :
- Légers troubles digestifs (inconfort abdominal, selles molles, nausées passagères)
- Légers maux de tête
- Fatigue passagère ou sensation de chaleur
- Symptômes pseudo-grippaux temporaires
Il est intéressant de noter que dans plusieurs études, notamment celle d’Okabe et al. (2022), ces symptômes sont apparus à des fréquences similaires dans le groupe placebo, ce qui suggère qu’ils ne sont pas nécessairement liés à la supplémentation.
Distinction entre les effets liés et non liés à la supplémentation
Les chercheurs ont également pris soin de distinguer les effets réellement attribuables au NAD⁺ de ceux dus à d’autres facteurs. Par exemple, dans certaines études, des cas isolés d’acné ou d’hypertension ont été observés, mais aucune relation de causalité claire n’a été confirmée.
Enfin, même à des doses élevées, jusqu’à 1200 mg par jour dans certaines études cliniques, aucun effet secondaire grave n’a été observé. Les chercheurs concluent donc que les précurseurs du NAD⁺ présentent un excellent profil de sécurité pour un usage à court terme.
Comment utiliser le NAD⁺ en toute sécurité
La sécurité d’utilisation des enzymes repose principalement sur deux éléments : le respect des dosages adaptés et une bonne conservation du produit. Les études cliniques publiées jusqu’à présent ont permis d’établir des plages de dosage considérées comme sûres pour un usage quotidien.
Dosages généralement observés dans les études
Les recherches montrent une bonne tolérance pour des doses allant de 250 à 900 mg par jour selon la molécule et le profil de la personne. Certains essais ont même utilisé jusqu’à 1200 mg/jour sans effet secondaire grave observé.
À titre indicatif, voici les plages de dosage fréquemment mentionnées dans la littérature scientifique pour un usage de soutien du métabolisme cellulaire :
- 30-40 ans : 200 à 400 mg par jour
- 40-50 ans : 400 à 600 mg par jour
- 50-60 ans : 600 à 800 mg par jour
- Plus de 60 ans : 800 à 1000 mg par jour
Une alternative simple consiste à estimer la dose en fonction du poids corporel : environ 8 mg par kilo de poids. (Par exemple, pour 70 kg = environ 560 mg par jour)
Populations nécessitant des précautions particulières
Certaines personnes doivent faire preuve d’une prudence particulière avant de consommer ces molécules :
- Femmes enceintes ou allaitantes (par principe de précaution, car aucune étude clinique n’a encore été menée sur ces populations)
- Personnes sous traitement pour le diabète (ces molécules peuvent influencer la sensibilité à l’insuline)
- Personnes souffrant d’insuffisance rénale ou hépatique
Conservation et moment de la prise
Points essentiels pour la conservation :
- Stocker dans un endroit frais et sec, idéalement au réfrigérateur
- Éviter toute exposition prolongée à la chaleur et à l’humidité
- Respecter la date de péremption indiquée sur l’emballage
Il est généralement recommandé de prendre les précurseurs du NAD⁺ le matin, avec un repas contenant une source de lipides. Cette association favorise une meilleure absorption et soutient l’énergie cellulaire tout au long de la journée.
Autres questions fréquentes sur le NAD⁺
Le NAD⁺ peuvent-ils provoquer des maux de tête ?
Quelques cas isolés de maux de tête ont été rapportés dans certaines études, mais ils étaient rares et souvent sans lien direct avec la supplémentation. La fréquence observée était similaire dans les groupes placebo.
Peut-on en prendre tous les jours ?
Oui. Les essais cliniques menés sur le NR, le NMN et le NADH confirment qu’une prise quotidienne est bien tolérée pendant plusieurs semaines, sans effet secondaire notable.
Ces molécules affectent-elles le sommeil ?
La prise le matin est généralement recommandée, car elle soutient la production d’énergie et le métabolisme cellulaire au cours de la journée.
Toutefois, certaines études suggèrent que le moment de la prise pourrait légèrement influencer le sommeil. Par exemple, une recherche menée par Kim et al. a observé que la prise en fin d’après-midi pouvait améliorer la qualité du sommeil chez certaines personnes âgées. Ces effets restent cependant légers et variables selon les individus.
Existe-t-il des risques à long terme ?
À ce jour, aucun risque à long terme n’a été identifié dans les études cliniques humaines. Cependant, la plupart des essais n’ont pas dépassé 12 semaines, ce qui signifie que les effets sur plusieurs mois ou années restent à mieux documenter.
Les études animales, plus longues, restent néanmoins rassurantes quant à la sécurité globale.
Y a-t-il des interactions médicamenteuses connues ?
Aucune interaction médicamenteuse significative n’a été mise en évidence à ce jour. Par mesure de prudence, il est toutefois conseillé de consulter un professionnel de santé avant de commencer une supplémentation, surtout en cas de traitement médical en cours.
Faut-il associer du TMG (Triméthylglycine) ?
Certains experts, dont le Dr David Sinclair, suggèrent d’associer une source de TMG pour soutenir le métabolisme des groupes méthyles lorsque l’on augmente l’apport.
Cependant, les recherches restent limitées et cette association n’est pas considérée comme indispensable à ce jour.
Le NAD⁺ DIX : sécurité et qualité au cœur de notre production
Au vu des études présentées et de l’importance de la qualité des précurseurs du NAD⁺ pour garantir efficacité et sécurité, le choix de votre supplément joue un rôle déterminant.
Notre NAD⁺ DIX répond aux standards les plus élevés de qualité évoqués dans les publications scientifiques. Chaque étape de notre production est pensée pour préserver l’intégrité des ingrédients et maximiser leur biodisponibilité :
- Certification GMP et HACCP (garantissant des normes strictes de fabrication et de traçabilité)
- Production enzymatique pour une biodisponibilité optimale et une stabilité renforcée
- Tests en laboratoire indépendants à chaque lot pour assurer une pureté de 99,9 %
- Absence totale de métaux lourds, solvants ou résidus chimiques
- Conditionnement hermétique pour une conservation idéale, à l’abri de la chaleur et de l’humidité
Comme l’ont montré les études cliniques, la pureté du produit est essentielle pour garantir ses effets sur la production naturelle de NAD⁺ tout en minimisant tout risque d’effets secondaires.
Notre procédé de fabrication enzymatique, plus proche des mécanismes naturels du corps humain, assure une meilleure assimilation et une tolérance optimale.
- Augmente le niveau de NAD+ pour une meilleure fonction cellulaire
- Améliore l’endurance physique et les performances
- Aide à réduire la fatigue et stimule naturellement l'énergie
- Contribue à la longévité cellulaire et à la santé globale
- Testé en laboratoire pour une pureté de 99.9% et certifié GMP et HACCP
- Capsules végétariennes avec une haute concentration en NAD
Publications scientifiques sur la sécurité du NMN
- « L’efficacité et la sécurité de la supplémentation en β-nicotinamide mononucléotide (NMN) chez les adultes d’âge moyen en bonne santé : un essai clinique randomisé, multicentrique, en double aveugle, contrôlé par placebo, en groupes parallèles et dépendant de la dose » (Étude majeure sur la sécurité du NMN à différentes doses) DOI: 10.1007/s11357-022-00705-1
- « La sécurité et les effets anti-âge du nicotinamide mononucléotide dans les essais cliniques humains : une mise à jour » (Revue complète des études de sécurité sur le NMN) DOI: 10.1016/j.advnut.2023.08.008
- « Amélioration des paramètres de performance physique chez les patients prenant du nicotinamide mononucléotide (NMN) : Une revue systématique des essais contrôlés randomisés » (Analyse approfondie de la sécurité et de l’efficacité) DOI: 10.7759/cureus.65961
- « L’administration orale de nicotinamide mononucléotide est sûre et augmente efficacement les niveaux sanguins de nicotinamide adénine dinucléotide chez des sujets sains » (Étude clinique sur la sécurité de l’administration orale) DOI: 10.3389/fnut.2022.868640
- « Effet de l’administration orale de nicotinamide mononucléotide sur les paramètres cliniques et les niveaux de métabolites de nicotinamide chez des hommes japonais en bonne santé » (Première étude clinique sur la sécurité du NMN) DOI: 10.1507/endocrj.EJ19-0313
- « Effet de la prise de nicotinamide mononucléotide pendant 12 semaines sur la qualité du sommeil, la fatigue et la performance physique chez les adultes japonais âgés » (Étude sur les effets à long terme) DOI: 10.3390/nu14040755
